Dimanche à la base, c'était levé à 8h15 pour faire une ballade longue d'une journée. Mais je voulais pas quitter mon lit, et Mélanie n'avait pas l'air de se motiver pour quitter son lit aussi.
Ca tombe bien, parce que : je voulais pas marcher des masses sachant que le soir, à 19h30 passé, il fallait que je marche encore avec tout mon attirail du Week-end et en plus dormir par terre m'a coincé quelques cervicales.
Donc je décolle de l'appart avec mon super lourd sac de rando sur le dos et c'est parti pour trainer toute l'après-midi sur Helsinki Centre!
Ca commence par l'entrée dans la cathédrale d'Helsinki. De dehors, elle en jette bien. A l'intérieur, luthérien oblige, c'est sobre. Vraiment sobre. En gros le plus beau à voir c'est l'extérieur.
Chandelier avec mode spécial de l'appareil photo et cathédrale plein pied.
Après la cathédrale, la baie Sud d'Helsinki.
Là où il y a toutes les ambassades. Belles maisons, beaux parcs, ports qui contient du plaisancier et non pas un Viking ou un Silja Line, petite plage. Bref, c'est sympa pour se croire avec une bourse pleine...
Cependant, il y a pas à dire, la vue sur la baie est moins belle ici qu'à Suommenlina.
Nous parcourons ainsi le long de la plage dans un petit parc jusqu'à se retrouver devant des immeubles modernes et dont le dernier étage duplex envoie du rêve : immense baie vitrée donnant sur le large! Oh, ça donne vraiment envie d'y habiter! Le quartier est calme...peu fréquenté par des touristes, et ne donne pas la sensation d'étouffer (en même temps avec un dégagé sur la mer !). Quelques rues plus loin, c'est sur le port industriel que nous tombons. Le contraste est saisissant... Il y a du changement de bâtiment...mais l'aspect n'est pas glauque du tout. Ce ne sont pas les hangars miteux, où on pourrait se faire agresser au détour de l'un d'eux. C'est propre...et harmonieux. Il y a même le Nosturi à la fin de cette ssurface qui est ue salle de concert essentiellement rock.
Entre grue et porte conteneur : le Nosturi
Le marché aux puces n'est pas loin, malheureusement pour la chineuse que je suis, le dimanche, ça finit tôt...et il était trop tard.
Il est 16 heures, j'exige à me poser dans un café. Mes cervicales me font souffrir et craquent sérieusement. Je passe 2 heures à attendre que mon Bus arrive après avoir renvoyé Mélanie chez elle.
Elle va pas attendre non plus 2 heures !
Le chemin pour rentrer de la station à chez moi se fait sur le pas de course.
Non, ce n'est pas parce qu'il fait nuit que je me grouille mais plus parce que j'ai envie de me pieuter !
Cette envie ne se verra pas réaliser.
Qui c'est qui découvre la porte du Congèl entrouverte?
Allez un indice, il ne reste plus qu'une personne dans la maison.
C'est Moiiiiiii !
Et le pire, c'est que je peux même pas avoir les boules contre moi...Allez hop, la moitié du stock pour les deux semaines à venir : poubelles !